Robot Chicken

Vous êtes vidéaste amateur mais aussi un peu fauché ? Pas assez de thunes pour vous payer une caméra avec un stabilisateur top-moumoute ? Pas grave. Achetez un poulet. Je ne déconne pas.

Quand la pub fait son taf

Sécuriser son accès Internet pour éviter que les enfants fassent n’importe quoi, c’est un peu une priorité pour les parents avec un QI normal ET qui sont conscients du problème. C’est ce dernier point qui est le plus souvent en défaut. Incroyablement, je viens de tomber sur une pub sur le sujet qui fait son boulot de sensibilisation et qui est presque drôle. Ça change !

Traduit en 12 langues, ce spot a déjà reçu 2 récompenses. Well done.

WTF ?

L’histoire de Toby le chien et de Sheila madame canard est touchante. Mais la fin risque de troubler les plus sensibles. Non, pas besoin de maîtriser l’espagnol pour comprendre…

WTF donc…

L’art du détournement

Si vous ne parlez pas anglais, vous allez forcément rater toute la portée philosophique de ce détournement fantastique de Left 4 Dead. Si vous avez un niveau suffisant, vous devriez profiter pleinement de la chose, ce qui devrait garantir au passage que vous avez l’âge requis pour en rire.

On en fait des trucs fantastiques avec un éditeur audio et de l’imagination !

Jamais vu à la télé

Ce qu’il y a de bien quand je m’éclipse au Texas pour mes « vacances » annuelles, c’est que mes potes de là-bas en profitent toujours pour me faire découvrir des séries télé obscures, à côté desquelles j’étais complètement passé. Séries européennes, bien entendu, ce qui n’est pas sans une certaine ironie.

Parmi ces joyaux de l’étrange, j’ai retenu pour vous Garth Marenghi’s Darkplace. Le pitch en deux mots: un écrivain à succès plutôt mégalo, ressemblant curieusement à un certain Stephen, nous narre le making of d’une fausse série télé qu’il a inventée, produite, réalisée, et dans laquelle il tient bien entendu le rôle principal.

Au cours des six épisodes qui composent cet OVNI télévisuel, on a donc droit à de larges extraits de la fameuse série (délicieusement estampillée « années 80 »), entrecoupés d’interviews des membres de l’équipe. C’est con, très con, mais paradoxalement aussi très bien écrit. Et vous savez à quel point je suis sensible à ce genre de choses. Le pastiche est savoureux, bien vu, et les auteurs (Matthew Holness et Richard Ayoade) s’en donnent à coeur joie, allant même jusqu’à inventer un faux « tube de l’été » et de lui donner vie dans ce court clip improbable.

Pour les curieux et ceux qui ont plus de temps, je vous glisse aussi les huit premières minutes du pilote, juste assez pour vous rendre accro.

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