Un petit billet rapide pour partager avec vous ces magnifiques clichés de copine Charlotte, pris du côté de la place de la République, à Paris, après les évènements dramatiques de ce weekend. De quoi se réchauffer un peu le cœur malgré tout…

Un petit billet rapide pour partager avec vous ces magnifiques clichés de copine Charlotte, pris du côté de la place de la République, à Paris, après les évènements dramatiques de ce weekend. De quoi se réchauffer un peu le cœur malgré tout…
Coucou, c’est Faskil ! Comme ça faisait un bail que je n’étais pas venu poser mes valises ici, je profite d’une actualité du côté de la production pour passer en douce faire un peu d’honteuse promotion. Je me remets lentement (mais surement) à la prod et parmi les choses que j’avais envie de faire depuis un bon moment déjà, il y avait ce remix d’un morceau peu connu de Propaganda, Your Wildlife.
Il avait déjà eu les honneurs du remix, à l’époque de sa sortie en 1990, des doigts experts de David Morales qui en avait fait un trip house assez éloigné de l’original.
Pour ma part, j’ai voulu revenir à la source. Je suis toutefois parti sur une version plus lente (on navigue ici autour des 116 BPM, c’est Noki qui va être content) et j’ai surtout fait mumuse avec la deuxième partie du morceau. Il y a un petit groove à mi-chemin entre le new disco et la house qui me plait bien, c’est parfaitement de saison, totalement summer-y, et à écouter en se prélassant sous le soleil.
En attendant la version finale (bientôt), voici un petit extrait de 2m30, pas vraiment passé au mastering, donc ne vous plaigniez pas de la qualité. En espérant que ça vous plaise !
En matant l’excellent Digging in the Carts posté par Caféine (ici), je me suis immédiatement souvenu d’une série similaire qui m’avait beaucoup plu : Crate Diggers, où l’équipe de Fuse s’invite chez des DJ et producteurs de renom, pour s’intéresser à leur collection de vinyles.
Plus qu’un simple concours de taille de discothèque, l’émission se révèle au final être une véritable introspection musicale pour l’artiste interviewé, sorte de biographie minute, emprunte d’anecdotes fascinantes et débordant d’une passion pour la musique hautement contagieuse.
Au total, près d’une cinquantaine de vidéos à dévorer sans modération, parmi lesquelles je recommande en priorité celles-ci : The vidz
Parfois, comme tout le monde j’imagine, quand j’ai un petit pépin dans ma life, je me laisse facilement submerger de doutes. Et quand ça arrive, le découragement n’est jamais bien loin. Pourtant, je n’ai pas à me plaindre. Surtout quand je vois que d’autres, bien plus infortunés, parviennent à donner un sens à leur quotidien difficile, envers et contre tout.
Paul Smith est né avec une infirmité motrice cérébrale et pour lui, toute activité impliquant un minimum de dextérité relève du défi insurmontable. Mais l’envie de créer est plus forte que tout. Et comme son invalidité l’empêche de manier la plume ou le pinceau, il a appris à se servir d’une machine à écrire pour produire ses œuvres.
En ce moment, sous couvert de « bonnes » vannes, on galvaude beaucoup le « respect ». Mais le mot effleure à peine tout ce que je ressens pour le bonhomme.
Edit : après quelques petites recherches sur le net, je suis tombé sur la page Wikipedia du monsieur, qui m’a appris qu’il avait malheureusement dû interrompre ses activités de « peintre à la machine à écrire » dès 2004 et qu’il nous avait quitté en 2007. Du coup, je regrette encore plus amèrement de n’en entendre parler qu’aujourd’hui. So long, Paul, et bravo pour la ténacité.
J’aurais pu commenter en long et en large ce court de Matthew Frost (avec Kirsten Dunst). Mais je pense que les images parlent d’elles-mêmes. Le mal de notre société, la triste vacuité d’une génération entière, synthétisée avec perfection en 2m36.