15 comments

  1. Laissez-moi deviner : le jeu consiste à reconnaître à quoi ces périphériques pouvaient servir à l’époque, je me trompe ? J’arrive juste à détecter l’imprimante mais le reste en dessous…

  2. Et encore c’est la version ultraportable..
    souvenirs, souvenirs, mon écran était mieux que ce machin mais le bureau moins bien rangé (ce qui énervait môman…)

  3. Mais mais mais.. Pas du tout, cette photo a été prise chez moi la semaine dernière.
    Alors entre les deux drives et l’imprimante, on a un lecteur de cassettes et le boitier IO qui permet de connecter l’imprimante. Ça fait le lien entre le connecteur série propriétaire d’Atari et le port parallèlle standard de l’imprimante.
    Et pis faut pas déconner, Avalo, ces Atari 800 justment étaient justement des monstres par rapport aux beaucoup plus mignons XL (contrairement à ce que le nom indique).

  4. Rhaa mon 800 xl, ses jeux sur cassette, 5 min de temps de chargement avec une fois sur trois "loading error"… Allez hop, rewind, on recommence et on rêve d’un lecteur 5 pouces 1/4… mais quand même, ça coûte la moitié du prix de l’ordi… Alors on encaisse les temps de chargement sans broncher et on se fait plaisir avec un ptit donkey kong…

  5. Euh… Non, MonsieurLâm, c’est pas Lost Style… C’est typique des années 70-80 (Apple II, Vic 20, C=64, Atari 600 et 800), du typique, Môssieur, rien à voir avec une série d’aujourd’hui… Non mais! :)

  6. Sérieux à part la TV je crois que tout y est.

    Ah "Atari, l’ordinateur-maison" (eh oui, le stagiaire marketing d’Atari France aurait pu etre remplacé par babelfish)! Toute une époque:
    – le Club Med (Atari 800, ordinateur officiel dans les villages qui proposaient une initiation à l’informatique… "si je veux!"),
    – le Multistore Hachette (place de l’Opéra, ils avaient tous les micros, et au milieu tronaient des trucs super à la mode genre les "cabbage patch kids"),
    – Le Sicob, interdit au moins de 18 ans (les geeks d’alors gênaient les "professionels" en costard qui venaient avant tout pour acheter des machines à écrire),
    – le Centre Mondial d’Informatique (avenue Montaigne, un vrai repère de pirates sur Apple //e, mais où tronaient aussi des Goupil G2 et G3, ainsi que des TO7 peu avant sa fermeture pour cause de pêtage de plomb entre Fabius et JJSS)…

    … ah nostalgie!

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